En cas de pic de pollution, les voitures les plus anciennes et les plus polluantes seront mises à l’index. La mesure est entrée en vigueur le 1er novembre 2016 à Grenoble. Elle est déjà controversée.
Alain Freyssinet, vice-président de l’automobile club du Dauphiné, propriétaire de vehicules anciens, estime que la mesure est injuste car la plupart du temps « on ne circule pas dans un véhicule ancien par plaisir. C’est souvent pas manque de moyens. ».
Alain Freyssinet dénonce également le revirement des politiques : « On roule avec des véhicules diesels « prescrits » par nos gouvernements successifs. Ce parc sera demain invendable ».
Il critique aussi le réseau de transports en commun « pas toujours adapté » pour ceux qui habitent en périphérie de Grenoble ou qui ont des horaires de travail décalés.